Conférence Inclusion Conseil x Don’t Call Me Jennyfer

En ce début du mois d’avril 2022, l’équipe Inclusion Conseil a animé une conférence auprès des équipes de Don’t Call Me Jennyfer ?

Cette conférence qui s’inscrit dans la continuité du #ZEROETIQUETTE de Don’t Call Me Jennyfer fut un moment d’échanges et de partage sur la valorisation et l’acceptation de ses différences !

Merci encore à Richard alias @bionic_sneakers pour son témoignage

? Réalisé par Moore.P

Vous souhaitez mettre en place des actions de sensibilisations pour vos équipes ?

Vous souhaitez développer votre politique d’inclusive et affirmez votre marque employeur ?

L’équipe Inclusion Conseil sera ravie de vous accompagner !

C’est par ici que ça se passe ?

Inclusion Conseil x Martinique La 1ère

Martinique La 1ère parle de nous !

Il y a 2 mois, Martinique la 1ère, une chaîne du groupe France Télévisions, mettait en avant Maëva, la fondatrice d’Inclusion Conseil, dans une interview exclusive pour l’émission Ô’Péyi?

Dans cet épisode vous découvrirez le parcours de Maëva, ce qui l’a poussé à fondé Inclusion Conseil, nos valeurs et nos aspirations : contribuer à la Société inclusive de demain !


⚠️INFORMATION EXCLUSIVE ⚠️

Après avoir acquis sa maturité autour des sujets de l’Inclusion en France, Inclusion Conseil continu de se déployer dans les DROM-COM pour accompagner les structures ultra-marines sur des projets autour du Handicap et des Diversités.

SEEPH x la Journée de L’homme : Vivre sa masculinité avec son handicap

A l’occasion de la Journée de l’homme et de la Semaine Européenne de l’Emploi des personnes handicapées (SEEPH) nous vous proposons de découvrir l’IncluView exclusive de Richard (@Bionic_sneakers sur Instagram). 

Qui est @Bionic_sneakers ? 

Richard, de son vrai nom, est un jeune homme de 33 ans vivant en région parisienne. 

Son histoire ?  Il nous explique qu’à la suite d’un accident de la voie publique en 2011 et des années de rééducation, il fut finalement amputé de la jambe gauche en 2017. 

Dans cette interview, Richard nous explique comment sa vie d’homme a évolué au travers de l’acceptation de son handicap, en nous partageant son quotidien, ses difficultés, ses peurs, ses joies… 

Vivre avec un handicap et l’accepter n’est pas toujours chose facile. Notamment lorsque l’on doit faire face au regard des autres, qui posent un jugement sur cette différence. 

Entre histoire, point de vue et anecdotes, Richard nous prouve que son handicap n’est absolument pas un obstacle à sa masculinité. 

Où sont les hommes sages-femmes ?

Si donner la vie est le plus beau métier du monde pourquoi n’attire-t-il pas les hommes ? Les données sont criantes : seulement 2,7% des sages-femmes sont du genre masculin.  

En cette journée mondiale de la sage-femme, Alexandre Paigier nous explique son métier à travers le prisme d’un homme. 

Âgé de 32 ans, le praticien travaille actuellement à la clinique de la Muette dans le 16eme arrondissement de Paris. Son choix professionnel est « un concours de circonstances » révèle-t-il. Il a quitté ses études à l’Ecole des Hautes Études commerciales (HEC) pour faire médecine. Il figure fièrement parmi les 2,7% d’hommes sages-femmes. 

Selon Alexandre Paigier, le nom « sage-femme » lui-même est un frein pour créer des vocations chez ses confrères. « Ils peuvent se sentir moins adaptés ». Or le mot sage-femme” signifie “qui a la connaissance de la femme”. Donc le mot « femme », ici, représente la femme enceinte, et non pas le praticien comme on pourrait le penser.  

Le terme maïeuticien est quant à lui souvent utilisé pour désigner un praticien de genre masculin. Il signifie « la personne qui accouche ».  

C’est seulement en 1982 que la profession s’ouvre aux hommes. Cette année-là, une directive européenne interdit la discrimination sexuelle. 

Il est à souligner que le diplôme de sage-femme s’acquiert en cinq ans d’études, le tout pour un salaire très peu avantageux. Une tâche au tableau pour l’attractivité du métier. 

Comme on peut l’imaginer, Alexandre Paigier ne passe pas inaperçu dans son service :  

« Je suis le seul homme sage-femme de mon travail, et, peut-être même dans l’histoire de la clinique de la Muette » .  

Du long de ses sept ans de carrière, il confirme qu’il n’a « jamais eu de problème avec (ses) collègues femmes et jamais ressenti qu’il y en avait un. Je suis même chouchouté ». 

Le métier de sage-femme est « polyvalent » et ne s’arrête pas à l’accouchement. C’est un suivi en amont de la grossesse et poursuivit même au-delà de la naissance.  

Les sages-femmes exercent avec tout le corps médical : les auxiliaires de puériculture, les gynécologues, les médecins, les obstétriciens, les aides-soignantes.  

Le praticien précise que ses patientes sont déjà habituées à rencontrer des accoucheurs masculins, donc la venue d’un homme sage-femme n’est pas étonnante. Les maris quant à eux « sont souvent interloqués et ça permet souvent de lancer la discussion avec le couple ».  

Alexandre Paigier est convaincu, dans ce métier, « que l’on soit un homme ou une femme l’essentiel reste la communication ».